Je n'ai toujours pas testé la totalité de la liste de parfums que je voulais essayer. Il y en a beaucoup, sentir tout d'un coup conduirait à l'overdose, au mal de crâne et ne me permettrait pas d'apprécier réellement et objectivement chaque parfum.
Pour l'instant je me suis contentée de ressentir Coco, avec mon nez de 29 ans et non celui de mes 12 ans pour lesquels ce célèbre parfum de Chanel paraissant bien évidemment trop fort, trop femme.
Très femme, il l'est indéniablement. Je revois les images publicitaires mettant en scène une femme brune, charnelle, affirmée et c'est un peu l'idée qu'on s'en fait en le respirant, loin de celle de Vanessa Paradis que j'aime certes beaucoup mais que je n'associerais pas à Coco.
Coco s'ouvre sur des notes légèrement fleuries (rose, ylang) voire fruitées pour s'épanouir sur des tons épicés, chauds, voire liquoreux. Son fond chypré ne me correspond pas (je ne suis pas une adepte des effluves chyprées) mais je dois reconnaître que c'est un beau parfum, mystérieux, enveloppant, un peu baroque et certainement envoûtant pour certain(e)s.
Bref, un parfum que je ne porterais pas car je ne m'y sentirais pas à l'aise mais une belle réussite de la parfumerie, indéniablement.
J'ai également essayé l'Eau des Merveilles d'Hermès, que j'ai trouvé très intéressant et original. J'ai appris qu'il ne contenait aucune note florale, et c'est vrai que le départ est très surprenant, voire pas très agréable. Les notes du début semblent un peu vertes pour vite se réchauffer autour de tons épicés et boisés. Il semble avoir été construit autour de l'ambre gris et c'est certainement pour ça qu'il m'a agréablement surprise.
C'est assez difficile de le décrire tant il est inhabituel.... En tout cas il se démarque nettement du lot de créations à la mode de ces dernières années, loin des excès gourmands ou des nouveautés aseptysées.
L'eau des Merveilles ne doit certainement pas laisser indifférent: soit on aime soit on n'aime pas. Pour ma part, ce n'est pas un parfum que j'achèterais car j'en ai déja pas mal et à moins d'un vrai coup de foudre, je n'en ai pas besoin, mais je le trouve objectivement très réussi et c'est une des dernières créations sur le marché de la parfumerie qui ait suscité mon intérêt et mon admiration.
Enfin, aujourd'hui, j'utilise mon échantillon de Fracas de Piguet, acheté via decant-me. Je suis assez partagée. Les premières minutes s'ouvrent sur un ton vert et sucré à la fois, comme un bonbon mais aromatisé à quelque chose d'inhabituel. Il évoque un peu le rhubarbe, la poire. Je trouve ça intéressant car original mais ce départ ne me séduit pas plus que ça.
Ces notes laissent place à un fond plus crémeux, plus doux mais assez entêtant. J'aime bien son audace mais il y a quelque chose qui m'a indisposé toute la matinée. Au fil des heures, le ton se réchauffe et devient de plus en plus doux, assez sensuel. J'ai lu que la version initiale était moins fruitée et sucrée et elle m'aurait certainement plus séduite. Il n'en reste pas moins un beau parfum dont on imagine qu'il devait être terriblement novateur et provocant lors de son lancement dans les années 50, au point de séduire de nombreuses personnalités comme Marilyn ou Françoise Hardy.
Pour l'instant je me suis contentée de ressentir Coco, avec mon nez de 29 ans et non celui de mes 12 ans pour lesquels ce célèbre parfum de Chanel paraissant bien évidemment trop fort, trop femme.
Très femme, il l'est indéniablement. Je revois les images publicitaires mettant en scène une femme brune, charnelle, affirmée et c'est un peu l'idée qu'on s'en fait en le respirant, loin de celle de Vanessa Paradis que j'aime certes beaucoup mais que je n'associerais pas à Coco.
Coco s'ouvre sur des notes légèrement fleuries (rose, ylang) voire fruitées pour s'épanouir sur des tons épicés, chauds, voire liquoreux. Son fond chypré ne me correspond pas (je ne suis pas une adepte des effluves chyprées) mais je dois reconnaître que c'est un beau parfum, mystérieux, enveloppant, un peu baroque et certainement envoûtant pour certain(e)s.
Bref, un parfum que je ne porterais pas car je ne m'y sentirais pas à l'aise mais une belle réussite de la parfumerie, indéniablement.
J'ai également essayé l'Eau des Merveilles d'Hermès, que j'ai trouvé très intéressant et original. J'ai appris qu'il ne contenait aucune note florale, et c'est vrai que le départ est très surprenant, voire pas très agréable. Les notes du début semblent un peu vertes pour vite se réchauffer autour de tons épicés et boisés. Il semble avoir été construit autour de l'ambre gris et c'est certainement pour ça qu'il m'a agréablement surprise.
C'est assez difficile de le décrire tant il est inhabituel.... En tout cas il se démarque nettement du lot de créations à la mode de ces dernières années, loin des excès gourmands ou des nouveautés aseptysées.
L'eau des Merveilles ne doit certainement pas laisser indifférent: soit on aime soit on n'aime pas. Pour ma part, ce n'est pas un parfum que j'achèterais car j'en ai déja pas mal et à moins d'un vrai coup de foudre, je n'en ai pas besoin, mais je le trouve objectivement très réussi et c'est une des dernières créations sur le marché de la parfumerie qui ait suscité mon intérêt et mon admiration.
Enfin, aujourd'hui, j'utilise mon échantillon de Fracas de Piguet, acheté via decant-me. Je suis assez partagée. Les premières minutes s'ouvrent sur un ton vert et sucré à la fois, comme un bonbon mais aromatisé à quelque chose d'inhabituel. Il évoque un peu le rhubarbe, la poire. Je trouve ça intéressant car original mais ce départ ne me séduit pas plus que ça.
Ces notes laissent place à un fond plus crémeux, plus doux mais assez entêtant. J'aime bien son audace mais il y a quelque chose qui m'a indisposé toute la matinée. Au fil des heures, le ton se réchauffe et devient de plus en plus doux, assez sensuel. J'ai lu que la version initiale était moins fruitée et sucrée et elle m'aurait certainement plus séduite. Il n'en reste pas moins un beau parfum dont on imagine qu'il devait être terriblement novateur et provocant lors de son lancement dans les années 50, au point de séduire de nombreuses personnalités comme Marilyn ou Françoise Hardy.
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