Sur les conseils du nez de Guerlain que j'avais croisé dans le métro une semaine auparavant, je suis allée sentir Rush de Gucci.
Bon, tout d'abord, c'est vrai que le flacon ne me séduit pas énormément. Certes "qu'importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse", la qualité du jus est toujours bien plus importante, mais ce flacon, que je trouve un peu agressif, n'invite pas à découvrir ce parfum.
Pour la petite histoire, cet emballage est rouge pour évoquer le "rush", cette attraction irrésistible que provoque la fragrance, qui fait que l'on se "rue" sur la personne qui le porte. J'ai lu quelque part que ce flacon pouvait aussi évoquer une cassette vidéo ... érotique.
C'est vrai que les premières vaporisations m'ont rappelé Allure Sensuelle, que je portais lorsque cette femme nez de Guerlain m'a conseillé ce parfum. Mais la suite m'a beaucoup moins plu. Pourtant il semble plaire à beaucoup d'adeptes des parfums, mais le côté sucré et caramélisé me repousse définitivement. En effet, au bout de dix minutes, j'ai cru sentir vaguement Angel, en plus doux, peut-être en raison de la surdose de patchouli, que je ne dois manifestement pas adorer.
C'est curieux, j'aime de nombreux parfums orientaux, épicés, sucrés, vanillés, et capiteux, de l'Heure Bleue à Habanita, en passant par Lolita, mais le côté bonbon-barbe à papa-caramel, me gène.
Pourtant, ce ne devrait pas être ce que je ressens. En effet, Rush de Gucci est considéré comme un chypre fruité et non comme un gourmand tel Angel. C'est, peut-être, une fois de plus, une question de peau. Ce second parfum de la marque italienne se compose de gardénia et de freesia, pour laisser ensuite place au jasmin de Madras, à la Rose de Damas, et à la coriandre. Le tout s'épanouit enfin sur des notes prononcées de patchouli, mais aussi de vanille et de vétiver.
C'est sans doute un beau parfum exprimant le désir, la fièvre, l'excès, mais sur moi cette surdose de fruit et patchouli m'évoque trop le sucre, voire l'auto-bronzant.
En revanche, j'aimerais beaucoup sentir la première création de la marque, l'Eau de parfum de Gucci.
Bon, tout d'abord, c'est vrai que le flacon ne me séduit pas énormément. Certes "qu'importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse", la qualité du jus est toujours bien plus importante, mais ce flacon, que je trouve un peu agressif, n'invite pas à découvrir ce parfum.
Pour la petite histoire, cet emballage est rouge pour évoquer le "rush", cette attraction irrésistible que provoque la fragrance, qui fait que l'on se "rue" sur la personne qui le porte. J'ai lu quelque part que ce flacon pouvait aussi évoquer une cassette vidéo ... érotique.
C'est vrai que les premières vaporisations m'ont rappelé Allure Sensuelle, que je portais lorsque cette femme nez de Guerlain m'a conseillé ce parfum. Mais la suite m'a beaucoup moins plu. Pourtant il semble plaire à beaucoup d'adeptes des parfums, mais le côté sucré et caramélisé me repousse définitivement. En effet, au bout de dix minutes, j'ai cru sentir vaguement Angel, en plus doux, peut-être en raison de la surdose de patchouli, que je ne dois manifestement pas adorer.
C'est curieux, j'aime de nombreux parfums orientaux, épicés, sucrés, vanillés, et capiteux, de l'Heure Bleue à Habanita, en passant par Lolita, mais le côté bonbon-barbe à papa-caramel, me gène.
Pourtant, ce ne devrait pas être ce que je ressens. En effet, Rush de Gucci est considéré comme un chypre fruité et non comme un gourmand tel Angel. C'est, peut-être, une fois de plus, une question de peau. Ce second parfum de la marque italienne se compose de gardénia et de freesia, pour laisser ensuite place au jasmin de Madras, à la Rose de Damas, et à la coriandre. Le tout s'épanouit enfin sur des notes prononcées de patchouli, mais aussi de vanille et de vétiver.
C'est sans doute un beau parfum exprimant le désir, la fièvre, l'excès, mais sur moi cette surdose de fruit et patchouli m'évoque trop le sucre, voire l'auto-bronzant.
En revanche, j'aimerais beaucoup sentir la première création de la marque, l'Eau de parfum de Gucci.
Difficile à trouver en parfumerie, ce dernier m'intrigue. Sensuel élégant au sillage captivant, sa composition mêlée entre autres d'iris, de fleur d'oranger, de musc et de vanille, me semble des plus séduisantes. J'ai lu de plus que cette eau de parfum renouait avec les grands classiques tels que l'Heure Bleue alors....
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