Parfum mythique s'il en est, le N°5 de Chanel, tout comme Shalimar de Guerlain, aura résolument marqué l'histoire de la parfumerie française. Certain(e)s lui reprochent parfois un côté vieillot, mais il reste obstinément n°1 des ventes en France, depuis de longues années. Intemporel, il semble traverser les époques loin des diktats de la mode et du marketing.
Il doit pourtant un peu de sa magie aux images qui l'entourent. Outre son superbe 'jus", des plus innovants lors de création pour la forte dose d'aldéhydes qui le composent, Chanel N°5 , c'est aussi et avant tout, les quelques gouttes de ce parfum que portait Marilyn, nue, pour dormir.
Les années 80 l'ont vu sublimé par Carole Bouquet, pour être aujourd'hui mis en valeur par Nicole Kidman.... Bref, il y a un véritable aura de glamour autour de ce parfum, auquel on ne peut rester insensible.
Chanel N°5, c'est LE parfum de la Femme, par excellence. Classe, chic, féminin, légendaire, séducteur, autant de mots pour décrire cette création d'Ernest Beaux à l'aube des années 20. En effet, Coco Chanel avait exigé un parfum qui sente la femme, pas les fleurs, et ce fût la première fois que le parfumeur utilisa des matières synthétiques, les aldehydes, subtilement mêlées aux notes florales.
Le mythe du plus célèbre parfum de Chanel, c'est aussi qu'il fût le parfum le plus cher au monde. Coco le voulait impossible à copier, et Ernest Beaux multiplia alors les ingrédients les plus onéreux dans sa composition. On doit donc à cette exigence, l'extrême qualité des fleurs, entre ylang ylang et Jasmin de Grasse. Iris, rose de mai et muguet accompagnent ces deux notes phares, pour s'épanouir sur un fond de vétiver, de santal, de vanille et d'ambre.
Son sillage est unique, mais on lui reproche parfois un côté désuet, vieillot. C'est curieux car je l'ai senti très jeune, sans doute avant qu'il soit reformulé, et j'en avais en effet gardé un souvenir très capiteux, très fort, très dame, bien que magnifique. Je ne lui trouve aujourd'hui plus du tout cet aspect lourd. Il est présent, à la fois floral, aldehydé mais chaud, sans être entêtant. Il a sans doute donné le ton aux parfums Chanel, au sillage particulier, à la fois fort et aérien. Il faut en revanche avoir la main légère... Quoiqu'il en soit, c'est vrai qu'on se sent terriblement femme en le portant.
Brillant, classique, légendaire.... on peut parler des heures de ce parfum, mais il reste pour moi celui d'une amie, qui le portait si bien. Séductrice, femme, coquette, adepte de valeurs sûres, de qualité et de raffinement, ça ne m'étonne pas qu'elle ait choisi ce parfum entre tous pour signature.
Le mythe du plus célèbre parfum de Chanel, c'est aussi qu'il fût le parfum le plus cher au monde. Coco le voulait impossible à copier, et Ernest Beaux multiplia alors les ingrédients les plus onéreux dans sa composition. On doit donc à cette exigence, l'extrême qualité des fleurs, entre ylang ylang et Jasmin de Grasse. Iris, rose de mai et muguet accompagnent ces deux notes phares, pour s'épanouir sur un fond de vétiver, de santal, de vanille et d'ambre.
Son sillage est unique, mais on lui reproche parfois un côté désuet, vieillot. C'est curieux car je l'ai senti très jeune, sans doute avant qu'il soit reformulé, et j'en avais en effet gardé un souvenir très capiteux, très fort, très dame, bien que magnifique. Je ne lui trouve aujourd'hui plus du tout cet aspect lourd. Il est présent, à la fois floral, aldehydé mais chaud, sans être entêtant. Il a sans doute donné le ton aux parfums Chanel, au sillage particulier, à la fois fort et aérien. Il faut en revanche avoir la main légère... Quoiqu'il en soit, c'est vrai qu'on se sent terriblement femme en le portant.
Brillant, classique, légendaire.... on peut parler des heures de ce parfum, mais il reste pour moi celui d'une amie, qui le portait si bien. Séductrice, femme, coquette, adepte de valeurs sûres, de qualité et de raffinement, ça ne m'étonne pas qu'elle ait choisi ce parfum entre tous pour signature.
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