lundi 19 janvier 2009

Surprises parfumées ...


Je suis allée à la boutique Guerlain ce week-end pour sentir Cuir Béluga et Spiritueuse Double Vanille.

A ma surprise, je n'ai pas craqué pour ces deux parfums qui m'avaient tant séduite, sur le papier.

Certes, Cuir Belluga reste quand même une réussite car il sent bon, il a l'effet d'une seconde peau comme le laisse imaginer son nom, mais je ne l'ai pas senti mien.....

Pourtant il est réellement intéressant et original, il est très très discret au début, on le sent à peine, et ensuite se dégagent des notes à la fois de tabac et de vanille, douces, sur la peau. Il a la classe des Guerlain, mais il ne laisse pas ce sillage qu'on leur connaît puisque c'est un parfum de peau. J'ai beaucoup aimé l'odeur de ce parfum mais je ne sais pas, pas au point de le faire mien.

Quant à Spiritueuse Double Vanille, je n'ai vraiment pas adoré, son odeur est trop sucrée, ce n'est pas cette vanille là que j'apprécie. C'est idiot mais ma vanille de référence serait plutôt celle de l'Occitane, qui a malheureusement arrêté sa gamme de produits. Je ne suis pas fan de l'eau des vanilliers mais le lait corporel et le gel douche étaient un délice.

Je suis donc peut-être trop accro et familiarisée à l'Heure Bleue, mais il n'y a pas, il reste mon préféré, des Guerlain et en général.

En revanche bonne surprise, car j'expliquais à la vendeuse que j'adorais Shalimar mais que malheueusement ma peau ne lui rendait pas justice. La vendeuse m'a donné un échantillon de l'Eau de Shalimar, à essayer. C'est celui que je porte aujourd'hui, et qui à ma grande surprise, me plait beaucoup. Je suis généralement peu adepte des flankers mais celui-ci est manifestement réussi, ou du moins il s'adapte mieux à ma peau.

On y retrouve complètement l'odeur de Shalimar mais en plus douce. On dirait une eau de toilette allégée. C'est un shalimar plus frais mais présent, qui n'oublie pas ses notes vanillées. S'ouvrant sur un cocktail de citron vert, de bergamote et d'orange, Eau de Shalimar laisse ensuite s'installer doucement la vanille, ici sublime, accompagnée d'une effluve d'iris raffiné et poudré.

Je dois finalement aimer beaucoup l'iris puisque l'Heure Bleue en possède dans sa composition.




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