grande histoire d'amour depuis l'enfance...
Je me suis passionnée très jeune pour le parfum, peut-être à la suite d'une des nombreuses visites de la Maisons des parfumeurs à Grasse, dans le sud, je ne sais plus. Peut-être aussi parce que ma mère adorait le parfum Samsara de Guerlain, peu importe. Très vite, je suis plongée dans cet univers fait de délicates senteurs, tour à tour fleuries, boisées, fraîches ou vanillées.
J'étais plutôt dotée d'un bon odorat et je pris rapidement un malin plaisir à reconnaître le nom des parfums de mes proches. (Bon entretemps j'ai découvert la cigarette et mes facultés olfactives ne sont plus ce qu'elles étaient, même si je garde une certaine sensibilité dans ce domaine).
Lorsqu'on s'intéresse aux parfums, on peut difficilement passer à côté de Guerlain. Réputée depuis le début du XXeme siècle pour être un des plus grands parfumeurs, cette maison offre en effet des créations originales, et d'une qualité nettement supérieure à la moyenne. Encore aujourd'hui, je ne sais pas ce qu'il en est des derniers parfums sortis, mais les classiques Shalimar, l'Heure Bleue ou Jicky sont une véritable invitation au voyage tant leurs effluves évoluent au cours d'une journée. Certes ces parfums sont plus coûteux, mais ils ont une classe, une teneur et une singularité indéniable par rapport aux autres.
C'est ainsi, que je me pris de passion pour l'histoire de la Maison Guerlain, apprenant que L'heure bleue a été créé en 1912 ou que Shalimar a été découvert en "glissant" une goutte de vanille dans le parfum Jicky.
C'est aussi comme cela que je me mis à chiner les brocanteurs avec ma mère tous les dimanches pour découvrir d'anciens flacons datant du début du siècle et qu'on entreprit une vaste collections de modèles anciens. Houbigant, Piguet, Chanel ou René Coty étaient donc autant de noms qui peuplaient mes dimanches.
Longtemps j'essayais de créer "mes parfums" à base de diverses essences que j'achetais, qu'il s'agisse de lys, d'iris, de vanille, de musc ou de jasmin. Il suffisait de les mélanger savamment tout en y incluant un peu d'alcool à 90°C. Malheureusement je n'ai jamais trouvé LA formule, l'ingrédient, qui permettait de faire tenir un parfum sur le long terme.
Viennent ensuite les premiers questionnements sur l'avenir à l'école. Bien sûr je voulais être "nez", jusqu'à ce que je réalise qu'il fallait être bon en maths et en chimie pour cela, chose impossible pour une personne qui totalise 2 de moyenne en maths en première alors qu'elle prend des cours à côté et qui n'a jamais compris le fonctionnement d'une équation bilan.
Aujourd'hui, j'ai laissé tomber les brocanteurs et les expérimentations, mais je voue encore un véritable culte à l'univers du parfum. Je préfère presque être mal habillée ou maquillée que de sortir sans parfum. Malheureusement peu de créations récentes m'ont fait vibrer dernièrement. Alors je reste fidèle à mes classiques, L'Heure Bleue, Lolita Lempicka, Intuition d'Estée Lauder voire, parfois, Shalimar.
Je me suis passionnée très jeune pour le parfum, peut-être à la suite d'une des nombreuses visites de la Maisons des parfumeurs à Grasse, dans le sud, je ne sais plus. Peut-être aussi parce que ma mère adorait le parfum Samsara de Guerlain, peu importe. Très vite, je suis plongée dans cet univers fait de délicates senteurs, tour à tour fleuries, boisées, fraîches ou vanillées.
J'étais plutôt dotée d'un bon odorat et je pris rapidement un malin plaisir à reconnaître le nom des parfums de mes proches. (Bon entretemps j'ai découvert la cigarette et mes facultés olfactives ne sont plus ce qu'elles étaient, même si je garde une certaine sensibilité dans ce domaine).
Lorsqu'on s'intéresse aux parfums, on peut difficilement passer à côté de Guerlain. Réputée depuis le début du XXeme siècle pour être un des plus grands parfumeurs, cette maison offre en effet des créations originales, et d'une qualité nettement supérieure à la moyenne. Encore aujourd'hui, je ne sais pas ce qu'il en est des derniers parfums sortis, mais les classiques Shalimar, l'Heure Bleue ou Jicky sont une véritable invitation au voyage tant leurs effluves évoluent au cours d'une journée. Certes ces parfums sont plus coûteux, mais ils ont une classe, une teneur et une singularité indéniable par rapport aux autres.
C'est ainsi, que je me pris de passion pour l'histoire de la Maison Guerlain, apprenant que L'heure bleue a été créé en 1912 ou que Shalimar a été découvert en "glissant" une goutte de vanille dans le parfum Jicky.
C'est aussi comme cela que je me mis à chiner les brocanteurs avec ma mère tous les dimanches pour découvrir d'anciens flacons datant du début du siècle et qu'on entreprit une vaste collections de modèles anciens. Houbigant, Piguet, Chanel ou René Coty étaient donc autant de noms qui peuplaient mes dimanches.
Longtemps j'essayais de créer "mes parfums" à base de diverses essences que j'achetais, qu'il s'agisse de lys, d'iris, de vanille, de musc ou de jasmin. Il suffisait de les mélanger savamment tout en y incluant un peu d'alcool à 90°C. Malheureusement je n'ai jamais trouvé LA formule, l'ingrédient, qui permettait de faire tenir un parfum sur le long terme.
Viennent ensuite les premiers questionnements sur l'avenir à l'école. Bien sûr je voulais être "nez", jusqu'à ce que je réalise qu'il fallait être bon en maths et en chimie pour cela, chose impossible pour une personne qui totalise 2 de moyenne en maths en première alors qu'elle prend des cours à côté et qui n'a jamais compris le fonctionnement d'une équation bilan.
Aujourd'hui, j'ai laissé tomber les brocanteurs et les expérimentations, mais je voue encore un véritable culte à l'univers du parfum. Je préfère presque être mal habillée ou maquillée que de sortir sans parfum. Malheureusement peu de créations récentes m'ont fait vibrer dernièrement. Alors je reste fidèle à mes classiques, L'Heure Bleue, Lolita Lempicka, Intuition d'Estée Lauder voire, parfois, Shalimar.
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